Kimberly Freak Élève de 1ère année
Nombre de messages : 22 Age : 29 Maison : Gryffondor Date d'inscription : 17/08/2007
| Sujet: Une belle journée (pv Eileen mon aveugle préférer ^^) Ven 31 Aoû - 15:06 | |
| Une belle journée s'anonçais sur Poudlard bien que le directeur en était atrocement sombre, mais les éleves ne se laissait pas abbatre bien sur le temp où Dumbeldore en était le directeur devais vraiment être superbe et bien le contraire d'un directeur si pathétique. Les éleves était tous dehors, certain avais pris de la nouriture aux elfes de maison pour faire un pic nique dehors entre amis, d'autre révisais bien sagement à l'ombre d'un chêne, les plus aventurier venais chercher des noises au Saule Cogneur et s'enfuyais à toute allure lorsqu'il bougeais.
Kimberly freak, étudiante de la valeureuse maison de Gryffondor était tranquillement allongée à l'ombre d'un chêne, elle avais à ses oreilles un balladeur sorcier et écoutais le dernier titre de son groupe préférer : Les bizard Sisters, elle avais les yeux clo et les pensée se melais entre elle dans sa tête jusqu'au moment où Kim décida de ce rendre au lac, il y avais des éleves qui s'yb baignais normal avec cette chaleur, puis Kim entendit des pas s'aprocher d'elle | |
|
Eileen Nemerosa Élève de 1ère année
Nombre de messages : 22 Maison : Gryffondor, pour le meilleur, et pour le pire... Date d'inscription : 21/08/2007
| Sujet: Re: Une belle journée (pv Eileen mon aveugle préférer ^^) Sam 1 Sep - 21:11 | |
| Le réconfort d’une promenade en des temps si troublés… La douceur de l’herbe sous ses pieds… Le parfum enivrant des fleurs parsemant un parc qui a su conservé sa beauté, malgré tout… Et dans cette aube naissante, elle se promenait, yeux ouverts sur la noirceur de son monde. Comme elle aimerait pouvoir admirer chaque pétale de chaque orchidée, en mettre une dans ses cheveux ondulés pour sentir à jamais son parfum si doux. Mais elle ne le ferait pas, elle ne les verra jamais, parce qu’elle était aveugle. Tout simplement. Ce mot qui voulait tant dire et restait pourtant si mystérieux. Oui, que savaient-ils, ces étrangers, sur ce handicap ? Rien. Car eux-mêmes étaient bien plus aveuglés par leurs préjugés, qu’elle ne le serait elle-même. Et eux, qui étaient devenus sombres, ténébreux, malheureux, avaient perdu la foi en ce lieu où le mal semblait régner en maître, elle ne les enviait pas. Car Eileen avait toujours su conserver son innocence, sa pureté. Et le crin de licorne au cœur de sa baguette, qu’elle frôlait de ses doigts fins, représentait tout ce qu’est la jeune fille.
Et la voici qui se dirigeait vers ce lac adoré des élèves, vêtue d’une jupe rouge dévoilant des jambes parfaites par intermittence, ainsi qu’un petit chemisier blanc. Pour se protéger du froid, sa cape de sorcière fait l’affaire. Car le parc avait conservé la fraîcheur de l’aube, piquante, mais en même temps, agréable. Cela changeait de l’ambiance oppressante du château, où chacun soupçonnait son compagnon, même entre meilleurs amis. Elle-même n’avait que peu de vrais amis. Pas à cause de son caractère, non loin de là. Au contraire, elle attirait les autres par cette fraîcheur, cette joie de vivre et cette lumière si caractéristiques de la jeune fille. En fait, elle avait tendance à ne pas se lier avec ceux qui la traitaient différemment des autres : avec pitié, compassion, ou même admiration. Etait-il si difficile de comprendre que tout ce qu’elle souhaitait était de l’affection, voir de l’amour ? La pauvre enfant n’avait jamais connu les symptômes d’un cœur amoureux, ses soucis mais aussi le bonheur qu’il apporte. Car les garçons ne se comportaient pas avec elle comme avec n’importe quelle fille. Et pourtant elle était jolie, voir même belle. Simplement, elle ne le savait pas, et il lui manquait cette assurance, cette aura qui attirait comme des mouches les adolescents de son âge. Peut-être qu’un jour, lorsqu’elle serait adulte, tout cela changerait ?
Sans le vouloir, elle s'était approchée d'une autre Gryffondor. Mais cela, elle ne le savait, enfermé dans le noir de son monde. Elle entendit le bruit de cette respiration féminine. Elle ne pouvait s'éloigner, puisque la jeune inconnue occupait le seul lieu un peu isolé de la foule. Aussi s'approcha-t-elle et demanda avec douceur
"Puis-je m’asseoir ici?" | |
|